La Vie des autres...

°Û° a écrit:

°Û° a écrit:

Vu hier et comme vous, j'ai pleuré et trouvé que WGS ressemblait à Kevin Spacey (c'est marrant d'ailleurs, il s'appelle Spiesser dans le film).
...

n'importe quoi! c'est Weisler. Et c'est HGW.

Tiens ? ça fait H-G Wells ("la guerre des mondes" ?)

Obligé de rajouter quelques lignes même si tout à déjà été dit...

Cette RDA retranscrit avec une grande fidélité, sans anachronisme ni couleurs pétantes.

Cette réalisation impécable, entre langueurs et plans explicatifs.

Et surtout le thème de la surveillance, partout. Au théatre avec des jumelles, à l'université avec le supérieur qui débarque sans prévenir, dans l'appartement.

La culture aussi, comme barrière à la folie des hommes...

A côté de la vie des autres on se demande comment on peut afficher Taxi 4, tant on est dans le grand, le très grand cinéma.

c0rt0maltese a écrit:

Obligé de rajouter quelques lignes même si tout à déjà été dit...

Cette RDA retranscrit avec une grande fidélité, sans anachronisme ni couleurs pétantes.

Cette réalisation impécable, entre langueurs et plans explicatifs.

Et surtout le thème de la surveillance, partout. Au théatre avec des jumelles, à l'université avec le supérieur qui débarque sans prévenir, dans l'appartement.

La culture aussi, comme barrière à la folie des hommes...

A côté de la vie des autres on se demande comment on peut afficher Taxi 4, tant on est dans le grand, le très grand cinéma.

Tous les amis à qui j'ai recommandé ce film en sont ressortis ravis...
Pour moi, c'est LE film de l'année...

Ouai enfin on n'est qu'en mars en même temps :lol:

Suis d'accord pour dire qu'on a placé la barre très haut mais en 9 mois il y a encore de quoi voir!

Moi aussi j'ai bien aimé (vu la semaine derniere). Un peu mélo mais bien quand meme. J'aimerais bien voir un jour ce genre de film traité de manière un peu plus subversive. Là c'est chouette, on ne s'ennuie pas mais c'est trèèèès classique.

Enfin effectivement c'est le meilleure film que j'ai vu de l'année (en meme temps j'en ai vu que deux au ciné)

Au fait l'gé HGW ok, ca le fait, perso j'y crois à ton idée sur Wells.

Et CMS que l'on voit régulièrement pour crista maria sieman...

Tu aurais une idée?

Depuis que j'ai lu ton post je me pose la question...

c0rt0maltese a écrit:

Au fait l'gé HGW ok, ca le fait, perso j'y crois à ton idée sur Wells.

Et CMS que l'on voit régulièrement pour crista maria sieman...

Tu aurais une idée?

Depuis que j'ai lu ton post je me pose la question...

Je ne sais pas bien.
je viens de voir que certains blogueurs (blagueurs ?) allemands font le rapprochement avec Content Management System (système de partage de document sur Internet ... un peu comme Wiki, quoi). J'avoue que ... bof !
La juxtaposition de Christa et Maria a plus de signification, je crois : à la fois la sacrifiée et la madone !

Von Donnersmarck a surtout voulu, je crois, que les personnages soient perçus comme réduits à des "abstractions", des "signatures", tous fichés par le système : HGW/XX7, CMS, "Laszlo"...

(Tiens... est-ce que Laszlo pourrait faire référence à Casablanca ? ... joke)

C'est vrai qu'il s'appelle laszlo et je crois me rappeler qu'il était Hongrois mais bon la je pense que l'on est dans l'interprétation.

D'ailleurs c'est peut être uniquement comme tu le disais pour souligner l'organisation dont faisait preuve la stasi. D'ailleurs on le voit à plusieurs reprises dans la minutie de l'organisation, de l'archivage...

Je vais apporter une petite touche dissonante. Vraiment du mal à comprendre comment on peut s'enthousiasmer pour un film quand même très mou du genou, bourré de longueurs inutiles (sans compter un épilogue à rallonge sur le thème "que sont-ils devenus"), et où il ne se passe finalement pas grand chose. La dénonciation du système est-allemand est convenu et ne suffit pas. Et à aucun moment je ne me suis senti proche des personnages, je n'ai jamais eu l'impression de les connaitre, on reste à très longue distance, sans émotion, c'est froid. Quant à la réalisation, je ne vois rien à dire dessus, rien ne surnage, pas de personnalité.

J'ai réussi à ne pas m'endormir mais ce fut bien difficile.

nakata a écrit:

Je vais apporter une petite touche dissonante. Vraiment du mal à comprendre comment on peut s'enthousiasmer pour un film quand même très mou du genou, bourré de longueurs inutiles (sans compter un épilogue à rallonge sur le thème "que sont-ils devenus"), et où il ne se passe finalement pas grand chose.

Tu parles de Heat

Il insiste le saligot !

nakata a écrit:

Je vais apporter une petite touche dissonante. Vraiment du mal à comprendre comment on peut s'enthousiasmer pour un film quand même très mou du genou, bourré de longueurs inutiles (sans compter un épilogue à rallonge sur le thème "que sont-ils devenus"), et où il ne se passe finalement pas grand chose. La dénonciation du système est-allemand est convenu et ne suffit pas. Et à aucun moment je ne me suis senti proche des personnages, je n'ai jamais eu l'impression de les connaitre, on reste à très longue distance, sans émotion, c'est froid. Quant à la réalisation, je ne vois rien à dire dessus, rien ne surnage, pas de personnalité.

J'ai réussi à ne pas m'endormir mais ce fut bien difficile.

Bon non, Into the wild c'était un accident, on ne sera définitivement jamais d'accord!