Bon, comme on dit quand on se présente à quelque chose en matière électorale : « je ne voulais pas, mais la pression de mes amis m’a obligé… »
On ne peut pas vous tenir : je vous laisse 48h et vous pondez quatre pages sur mes adieux sans comptez les courriels qui m’ont été adressés perso. Y’en a qu’on pas l’air mais qui sont… sympas ! Je note à cet égard que ce ne sont pas ceux et celles avec lesquels je suis le plus en phase qui m’ont contacté… ce qui m’a réellement beaucoup touché car cela témoigne de leur capacité à dépasser des faits de formes pour défendre le fond : la liberté d’expression. Merci et bravo à eux !
Je vais tenter – pas facile – de préciser certaines choses :
1° : Non, les ouiouistes (que je ne pense pas avoir qualifiés comme tels très souvent), n’ont rien à voir avec le débat. Là-dessus, Zeb à l’air d’accord. Il n’y avait pas plus pensé que moi.
2° : La « goutte d’eau », c’est le « pays de merde » qui ma touché et c’est ce qui m’a poussé à écrire « Zeb de merde ». Que Zeb ait été choqué par ce propos est tout-à-fait normal… et c’est ce que j’ai voulu lui signifier ! Mais, visiblement, il (et d’autres) n’a pas compris que moi, « pays de merde », cela me choque !!!
3° : mon erreur a été de ne pas lui écrire « tout de suite »… mais quand j’ai voulu le faire… j’en ai été matériellement empêché.
Sur les commentaires et très rapidement :
- Zeb écrit… que je peux écrire « mes saloperies » et poursuit en proférant des menaces : « je vous censurerai ». C’est « chaud » et pas très démocratique, non ?
- Vanémel écrit, par exemple, que l’on ne m’a pas attendu pour…
Certes, mais il sait toutefois que j’ai 52 ans (lui 32) et que j’ai passé un certain nombre de jours dans les commissariats en France et en prison en URSS à l’époque de Brejnev. Il sait aussi que j’ai reçu des menaces de mort assez sérieuses pour avoir été obligé plusieurs fois de quitter mon domicile et d’être contraint d’observer des « rites » particuliers pour limiter les risques.
Il me qualifie de « parisien », d’un ton méprisant alors que tout le monde sait ici que je réside aux Mureaux (103 nationalités, 4 « zones dites sensibles », 30% de chômage… et bien connu des services… de l’audiovisuel). Les Mureaux fait partie des villes françaises où le taux d’imposition locale est le pus élevé en France !!! Et je soutiens le maire (pourtant « Vert ») dans ce choix.
Que son père ait été cégétiste ne peut que me satisfaire, puisque voilà 32 ans que j’ai ma carte !!! (Il est vrai que je ne paie plus depuis deux ans… car « ras le bol »… des « chefs »… pire que… les « chefs ».
Sur son histoire des 1 800 euros, je lui précise néanmoins une chose :
Mes parents qui ne gagnaient pas ça non plus, en 1958, s’achetaient un appart de 4 pièces à 17’ de la gare St Lazare. Ils avaient aussi deux enfants. Mon père était dessinateur (avait commencé à travailler à 14 ans en ramassant des traverses de chemin de fer à la SNCF. Il ne possédait qu’un « Certif ». Ma mère était dactylo (avec également un « certif »).
Aujourd’hui, un dessinateur et une dactylo ne peuvent pas s’acheter un tel appartement !!! Il faut comparer ce qui est comparable !!!
Quant au « bobo », ce n’est pas quelqu’un qui gagne 1 800 ou 1 000 ou 4 000 euros, c’est quelqu’un qui a une mentalité bien particulière.
Toutefois, je reviens à mon retour (ne serais-je pas Scheila ?), je prnes quelque résolutions (et je compte sur les démocrates pour me les remémorer en cas de crise…) :
- Quand je craquerai, je n’écrirais que des « bip-bip ».
- Si j’insulte (« X de merde »), j’expliquerai dans le corps de mon courrier pourquoi je le fais.
Je reviens vers Vanémel et le foot : Pourquoi ne vous arrêtez qu’à un seul aspect (très court) de mon courriel relatif au foot (au sport même) ?
Certes, c’était « sec »… mais sur le fond : le goût de la défonce, la différence du SPORT et de la star-ac sportive ? Que dîtes-vous ?
PS pour Clo avant ses vacances pollueuses (lol) : J’ai merdé cette semaine… de 18,5/20 je suis descendu à 16/20… Va me falloir une cellule psychologique !
Bande de « bip-bip », avec vos « bip-bip », je vais avoir moins de temps à consacrer à la prépa de mon cours.
« bip-bip » alors !