Peux-t-on et doit-on rester optimistes ?

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A Bouaké, un contingent marocain des Nations unies a été immobilisé en attendant les résultats d’une enquête lancée en interne.
C’est un climat de suspicion qui règne au sein d’une unité marocaine de casques bleus basée à Bouaké, une ville située en zone rebelle au nord de la Côte d’Ivoire. Des plaintes pour abus sexuels, viols et actes de pédophilie ont été déposées contre ces troupes de l'Opération de l'ONU en Côte d'Ivoire (Onuci) au cours de diverses missions dans la région. «Etant donnée la nature des accusations, toutes les activités du contingent ont été suspendues et l’unité a été immobilisée au sein de la base», explique un communiqué de l’organisation sur son site internet. Et d'ajouter que cette "mesure est conforme à la politique de tolérance zéro des Nations unies en ce qui concerne l'exploitation et les abus sexuels". 732 soldats sont cantonnés. Le contingent marocain est le deuxième de l'Onuci en effectifs, après celui du Bangladesh.

Comme ils affichent sur Euronews :

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no comment

"Les nus et les morts" : çà recommence ? On attend un Malaparte de l'Afrique Noire pour dénoncer dans un ou des best-sellers le sordide qui accompagne les "libérations", les missions humanitaires...

Des bandes de loups rôdent autour d'Heraklion,
Ils ont le casque dur et le fusil armé,
Fillette, enfant, vieillard, cours et va te cacher :
Tu serais le gibier que les vainqueurs se donnent...