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| Nivaldo à Sainté | |
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+3Forest billbaroud35 françois* 7 participants | |
Auteur | Message |
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vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 4 Fév 2007 - 1:21 | |
| Stoique malgré le vent glacial. Bienvenue à Moussilou. Rester digne. Petite analyse suite à cette fessée infligée par le dernier du championnat à domicile alors que nous menions 1-0 à la mi-temps. L'équipe joue à 10. L'arrière latéral Diatta coute le match. Le coaching ce soir est catastrophique. Hasek fait sortir Gomis qui est le seul point d'ancrage devant. Il n'y avait plus personne pour tenir la baraque au milieu alors que nous étions archi-dominés. Il manquait un joueur clé Camara. Janot a repoussé l'échéance. Le foot est cruel. La saison est quasi gachée par ce fiasco. En effet, Lens a gagné, l'écart se creuse avec les premiers. Un point positif, l'entraineur est lucide. Il dit que son équipe à été nulle. Je ne doute pas qu'il s'inclut implicitement dans le lot. Ici, les supporters sont médusés et consternés. Les sedanais ont des stats impressionnantes 52% de possession de balle, des centres à gogo. Quelle tristesse! |
| | | billbaroud35
Nombre de messages : 3718 Age : 50 Localisation : par des temps incertains... Date d'inscription : 28/09/2006
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 4 Fév 2007 - 2:33 | |
| - vanémel a écrit:
- Stoique malgré le vent glacial. Bienvenue à Moussilou. Rester digne.
Petite analyse suite à cette fessée infligée par le dernier du championnat à domicile alors que nous menions 1-0 à la mi-temps. L'équipe joue à 10. L'arrière latéral Diatta coute le match. Le coaching ce soir est catastrophique. Hasek fait sortir Gomis qui est le seul point d'ancrage devant. Il n'y avait plus personne pour tenir la baraque au milieu alors que nous étions archi-dominés. Il manquait un joueur clé Camara. Janot a repoussé l'échéance. Le foot est cruel. La saison est quasi gachée par ce fiasco. En effet, Lens a gagné, l'écart se creuse avec les premiers. Un point positif, l'entraineur est lucide. Il dit que son équipe à été nulle. Je ne doute pas qu'il s'inclut implicitement dans le lot. Ici, les supporters sont médusés et consternés. Les sedanais ont des stats impressionnantes 52% de possession de balle, des centres à gogo. Quelle tristesse! dans ce championnat ou aucune equipe hors lyon ne peut aligner 3 victoires consecutives, je trouve ce ton defaitiste digne d'un baron du ps devant les propos de segolene... on a deja dit que sainté devrait logiquement finir entre 5 et 8 ...désolé pour diatta, encore un andien rennais, ils aiment bien foutre le bin's à saint étienne ces temps ci font ch...lorient à battre le mans et s'incruster à la 7e place...non c bien, j'aime bien l'orange! au vu de ce qui se passe en ce moment, ça va cogner sec entre lille (plombé par la ligue des champions), lens (plombé par sa gestion des transferts) et marseille (plombé par un melon énorme dès qu'ils gagnent 2 matches), avec sochaux, saint etienne et bordeaux pour essayer de s'accrocher en cas de defaillance! (lorient c't'un accident et nancy c'est surcoté) Allez bonne nuit Van, veni, vidi et la prochane fois vici! | |
| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 4 Fév 2007 - 2:48 | |
| Bon, je me re-saisis. Mais finito l'avenue "Lamine Diatta" sur le coté droit! Sinon, je vote Sarko! |
| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 4 Fév 2007 - 10:59 | |
| Je ne me suis pas encore remis de cette défaite. Les gamines comme d'hab' jouent les reveils-matin, je peux meme pas aller me recoucher. |
| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Mar 6 Fév 2007 - 0:04 | |
| La position du Green Spirit sur le cas Piquionne :
Il y a 8 mois, nous nous sommes formés suite à des banderoles, dont une particulièrement blessante et injuste envers Frédéric Piquionne. Nous ne cautionnons toujours pas les écrits de l'époque, mais notre opinion sur le joueur a forcément évolué, au vu de ses déclarations et actes de ces derniers jours.
Nous n'étions pas naïfs au point de croire que Piquionne était réellement un amoureux du maillot vert, mais nous le respections pour tout un tas d'autres raisons : pour sa combativité, sa volonté, et même son professionalisme. Mais voilà que Piquionne s'est placé en victime et a employé un vocabulaire peu adapté à sa situation. On ne peut en effet pas parler d'esclavagisme quand on touche un tel salaire, et que l'on exerce un metier qui fait tant rêver. On ne peut pas mépriser à ce point les supporters d'un club légendaire. Il est parti, tant mieux pour l'ASSE. On ne peut pas regretter de tels hommes.
Plus que l'attitude de Frédéric Piquionne, il faut également dénoncer celle de Jean Michel Aulas, qui aura parfaitement réussi son petit jeu. Monsieur Aulas n'est pas à son coup d'essai niveau déstabilisation nauséabonde. Ribery, Chamakh, Pauleta, Savidan, Piquionne. A qui le tour ? Nos dirigeants se sont opposés, il faut les en féliciter.
Aulas est le Roi du Guignol, et Frédéric Thiriez est sa marionnette. La présentation de ses voeux sur le site de la LFP est à vomir. Comme prévu, Lyon et Bordeaux, exemptés du premier tour, sont en finale de la Coupe de la Ligue, et cela semble le réjouir au plus haut point. Et nous ne parlons même pas du passage ou Frédéric Thiriez dit qu'il faut se satisfaire de la domination lyonnaise...Quelle belle image pour le football français, en effet. Une Ligue 1 digne d'un championnat d'Ecosse où le Celtic et les Rangers auraient fusionné...!
Et notre équipe dans tout ça? Et bien, ça rame. Le stade de France, ça ne sera pas pour cette année. Le championnat est difficile, fait de hauts et de bas, sans réelle stabilité. Capables de gagner à Nancy, les Verts sont tout aussi prêts à laisser trois points à Sedan...Nous ne pouvons qu'encourager le jeune Bafé Gomis à poursuivre sa progression. Son potentiel est énorme. Nous misons beaucoup sur le retour de Perrin, mais ne l'attendons pas non plus comme le messie. L'équipe doit progresser, mentalement, et surtout collectivement. Le Green Spirit renouvelle sa confiance envers le staff et espère une bonne place pour l'ASSE à la fin de cette saison.
Allez les Verts. |
| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Jeu 8 Fév 2007 - 1:03 | |
| Tiens y'a la boutique des "verts" qui m'a envoyé un mail. La saint-Valentin arrive Je vais me faire offrir le maillot KB jardin. Un collector |
| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Sam 10 Fév 2007 - 0:21 | |
| Non rien de rien, non vraiment rien de croustillant cette semaine du coté du Forez. |
| | | billbaroud35
Nombre de messages : 3718 Age : 50 Localisation : par des temps incertains... Date d'inscription : 28/09/2006
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Sam 10 Fév 2007 - 0:39 | |
| - vanémel a écrit:
- Non rien de rien, non vraiment rien de croustillant cette semaine du coté du Forez.
ben a rennes comme d'hab, l'infirmerie est pleine...le problème en bretagne avec l'humidité c'est que même les joueurs finissent par être tous pourris | |
| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Sam 10 Fév 2007 - 0:43 | |
| - billbaroud35 a écrit:
- vanémel a écrit:
- Non rien de rien, non vraiment rien de croustillant cette semaine du coté du Forez.
ben a rennes comme d'hab, l'infirmerie est pleine...le problème en bretagne avec l'humidité c'est que même les joueurs finissent par être tous pourris En battant Nancy vous pouvez revenir dans la course. |
| | | billbaroud35
Nombre de messages : 3718 Age : 50 Localisation : par des temps incertains... Date d'inscription : 28/09/2006
| | | | vanémel Invité
| | | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 11 Fév 2007 - 0:20 | |
| Lu aujourd'hui dans Libération : Une vie de foot, ou quatre saisons en ballon Quatre joueurs de Saint-Etienne déclinent leur état d'esprit au cours de leur carrière sportive. L'âge d'or du footballeur ? Entre 26 et 28 ans, s'entend-on parfois expliquer. Sauf que les contre-exemples pullulent : les blessures faussent la donne, certains jeunes pressentis au plus haut niveau comme ce fut le cas pour le défenseur international de Saint-Etienne Zoumana Camara changent de club tous les ans pour se perdre au fil des contrats, d'autres disparaissent dans les méandres du foot mondialisé : la carrière d'un Lassina Diabaté (formidable milieu de terrain champion de France avec Bordeaux en 1999) ou d'un Reynald Pedros ont ainsi échappé à toute logique.
Subsiste une règle générale, qui dit qu'une carrière obéit à des rythmes : la formation, l'explosion, la découverte des limites et leur prise en compte dans l'évolution d'une carrière (d'où l'importance des agents, qui peuvent «survendre» leur joueur ou, au contraire, calibrer les clubs hôtes selon le profil du footballeur dont ils gèrent les intérêts), et enfin les dernières années, où il importe de gérer les moyens physiques. Quatre joueurs de l'Association sportive de Saint-Etienne (ASSE), le sixième du championnat de Ligue 1 en déplacement au stade de l'Abbé-Deschamps d'Auxerre samedi soir, ont accepté de décliner ces cycles, comme autant de saisons, à travers une expérience ou une anecdote ------------------------------------------------------------------------------------- Zoumana Camara : «L'instant prime sur tout; chaque match efface le suivant» «[i ]On dit que 27-28 ans c'est le meilleur âge. Pour un attaquant ou pour un défenseur ? Voyez... J'ai une trajectoire un peu spéciale : l'Inter de Milan à 19 ans, la phrase de Tapie ["Quand Zoumana Camara rejouera au foot, il pleuvra de la merde", en 2001, quand le joueur subissait une pubalgie aux adducteurs, ndlr]... Pourquoi ça marche aujourd'hui ? Ça fait trois ans que j'enchaîne dans le même club, sans blessure. Avant ça, je bougeais trop vite. Quand vous regardez les très grands joueurs, ils font trois ou quatre clubs, jamais plus : le club formateur, celui où le joueur explose, un troisième où il fait un gros contrat, et voilà.
Le fait que je sois tombé sur Vincent Hognon [son partenaire en défense centrale, ndlr] joue aussi certainement : moi dans le duel, lui dans l'anticipation ; les deux pièces du puzzle coïncident. Parfois, quand je me revois à la télé, je me dis : «C'est pas vrai, putain, pourquoi j'ai fait ça ?» Je trouve que je prends trop de risque, par exemple sur les relances ou les dribbles de dégagement. En même temps, ça m'emmerderait de trop calculer. C'est le fait d'être dans l'insouciance, de bouffer l'instant, qui me rend fort : tu cours, tu sautes, tu joues. Je crois que tu perds ça quand tu déclines physiquement. D'un autre côté, faire carrière, c'est écouter son corps. Il faut se débrouiller avec ces deux aspects contradictoires. J'en reviens à cette histoire d'être dans l'instant : c'est la noblesse du métier de footballeur. Dans ce boulot, l'instant prime sur tout ; chaque match efface le précédent. Quand tu perds, il se passe quoi ? Ton entourage doit te supporter. Et tu ne veux plus sortir ; comme si ça pouvait changer quelque chose de te mortifier chez toi. Pour cette raison, j'adore jouer tous les trois jours : tu restes dans l'action et tu apportes les réponses sur le terrain où ça se passe. La pression des supporteurs ? Je les comprends. Dans certains clubs, les joueurs s'en plaignent. Si je compare à mes expériences à Bastia ou Marseille, je sens plus de retenue de la part du public stéphanois. Ici, il y a toujours ce truc sur la mémoire et l'épopée de 76. Moi, joueur, j'y vois une forme de sagesse.» [/i]------------------------------------------------------------------------------------- Vincent Hognon : «Passé trente ans, on sait que les occasions sont comptées» «On commence à envisager la fin vers 29-30 ans. Je m'intéresse à beaucoup de choses (culture, politique...), ce qui peut rendre l'après-football moins douloureux. Sauf que j'adore le foot. J'y pense du matin au soir. Avec l'âge, je ne vois plus le jeu comme il y a dix ans. A 20 ans, vous êtes insouciant. Vous vivez votre match, puis le suivant, etc. Aujourd'hui, je réfléchis plus sur des séquences de trois ou quatre matchs en me demandant ce qu'il y a moyen d'améliorer. Je suis plus dans la réflexion.
Pour parler du jeu, je n'ai jamais été très physique : je n'avais pas grand-chose à perdre [sourire]. Avec l'âge, j'ai développé une meilleure gestion du temps. Un exemple ? Un mauvais début de match. Aujourd'hui, j'ai plus de facilité à faire des choses simples quand ça souffle, à ne pas m'affoler : se concentrer sur son duel, faire une passe facile, se donner du temps... Au bout de cinq à dix minutes, je parviens à me remettre dans le coup. Si je savoure ? Je dirais ça différemment : je ne veux pas perdre mon temps. Clairement, ça me rend irascible. L'AS Saint-Etienne n'a pas les moyens d'accrocher le titre de champion de France ; c'est donc en Coupe que ça se passe : chaque élimination me fait mal parce que c'est une occasion manquée, et un joueur, passé la trentaine, sait bien qu'elles sont comptées.
L'après-carrière, en revanche, m'inquiète de moins en moins. Quand j'avais 27 ans, j'avais peur. Plus maintenant. J'ai discuté un peu reconversion avec le club, mais je n'ai rien signé : le fait que mon angoisse se soit dissipée n'a donc rien à voir avec une quelconque garantie, puisque je n'en ai aucune. Mais quoi ? A 32 ans, un jeune diplômé a 3-4 ans d'expérience professionnelle derrière lui. Moi, ça fait douze ans que je travaille, douze ans que je suis sur le gril toutes les semaines, et douze ans que je compose avec une pression qui, quand même, n'est pas commune à tous les boulots. Dans le foot, on mûrit vite. Je termine un diplôme universitaire de gestion des installations sportives. Quand je jouais à l'AS Nancy-Lorraine, j'ai aussi eu ma première année de droit. Disons que je me suis prouvé des choses en dehors du football.» ------------------------------------------------------------------------------------- Hérita Ilunga : «Mon grand souvenir, c'est l'admission au centre de formation» «J'ai vécu mes plus belles années dans le foot en formation à Amiens. Il n'y avait pas d'argent, rien de malsain. C'est là que j'ai connu Cyril Merville (aujourd'hui gardien à Amiens, en L2) ; on s'appelle encore tous les soirs. Je l'ai connu à 14 ans à l'internat, où l'on retrouvait ceux qui n'étaient pas assez forts pour intégrer le centre de formation d'Amiens. Cyril était très timide et renfermé. Son sérieux m'avait frappé. Il était plutôt petit pour son âge et quand on joue gardien... A chaque repas, il prenait des pilules qui, disait-il, allaient le faire grandir : on avait beau lui dire que ça n'existait pas, que ce n'était pas possible, il s'accrochait à cette idée. J'ai tout de suite eu de l'amitié pour lui.
Mon grand souvenir, c'est mon admission au centre de formation. J'étais donc à l'internat : je pouvais être orienté au centre des Trois Dons ou rester à la porte. Le verdict tombait dans le bureau de notre coach des moins de 15 ans, Paul Imiela. Mais moi, je l'ai su avant. Comment ? En seconde, je voulais m'orienter vers un BEP comptabilité. J'avais remis ma fiche de souhait au club. On me l'a rendue avec le tampon du lycée de Montdidier qui marchait avec le centre de formation ; c'est là que j'ai compris. Je ne l'ai dit à personne. Dans ce milieu, tu grandis dans l'idée qu'il faut faire preuve de discrétion vis-à-vis des autres. Mes parents ? A leurs yeux, ça avait moins d'importance que le brevet des collèges. Pour mon premier jour de classe à Montdidier, c'est mon père qui m'a emmené. On est partis de Sarcelles, où habitaient mes parents. Mon père était un fou de sport, il regardait tout jusqu'à pas d'heure... On partageait ça dans les moments de détente : pour le reste, c'était un militaire, et il avait ses idées sur l'éducation [Ilunga fait le signe de serrer les boulons, ndlr]. Qu'est-ce qu'il m'a dit ce jour-là sur le chemin du lycée ? "Fais attention à ton comportement" , "Fais-toi respecter" , "Sois dans le groupe tout de suite, ne reste pas dans ton coin" . Parmi tous ceux que j'ai croisés au centre des Trois Dons, nous sommes trois à jouer aujourd'hui en professionnel : Cyril Merville et Abdellah Kharbouchi (Le Havre) en Ligue 2, et moi en Ligue 1. Trois sur une cinquantaine de postulants. C'est ça, le foot.» ------------------------------------------------------------------------------------- Christophe Landrin : «Je me définis comme un joueur de l'ombre , un homme de devoir» «Non, je ne me surveille pas plus : je suis quelqu'un de très tranquille, marié... Même à Paris [Landrin a évolué au Paris-SG pendant la saison 2005-2006, ndlr], je ne sortais pas. Je n'étais peut-être pas fait pour aller là-bas. Je venais de Lille, le club du début, le club du coeur, le club vers lequel on se tourne une fois la carrière terminée : j'ai été surpris des réactions déclenchées par l'annonce de mon départ dans la capitale : «Mais pourquoi tu vas là-bas, t'es fou, ça va pas ?» Des supporteurs me l'ont dit, des proches aussi. Et, vraiment, je n'y comprenais rien.
Une fois là-bas, j'ai un peu mieux saisi : je n'étais QUE Christophe Landrin, le joueur de foot. Qu'est-ce qu'il faut de plus ? Disons que je ne sais pas m'économiser, même à l'entraînement. J'y vais toujours à fond. J'ai peut-être tort. Ce matin [mercredi], c'est le coach qui a dû m'arrêter, car j'avais une douleur à la cheville : je n'allais pas stopper l'entraînement tout seul. Je me définis comme un joueur de l'ombre, un homme de devoir. Ça ne me pose aucun problème. Il en faut dans une équipe, à Paris comme ailleurs. Sauf que, au PSG, «joueur de l'ombre», c'est péjoratif. On vous sort : «Dites, vous êtes un second choix, ça ne vous dérange pas ?» Quand ils ont proposé de m'échanger avec David Hellebuyck, j'ai senti le vent tourner. A Saint-Etienne, c'est plus familial ; ça m'a conforté dans l'idée que je me faisais du club où je pourrais donner le meilleur. Le foot, c'est un sport collectif. La fin ? A bientôt 30 ans, je fais tout pour être en tête des exercices que nous impose l'entraîneur, mais, au fond, j'ai toujours été comme ça : vous savez, je ne suis pas du genre à me dire que je suis un joueur de Ligue 1 [où il compte pourtant près de 200 matchs, ndlr]. Peut-être que j'aurai du mal à rétrograder dans un club de Ligue 2. Refaire les voyages en bus quand on a pris l'habitude de l'avion, partir deux jours... J'arrêterai quand je sentirai la lassitude. Mais choisir son jour, c'est un luxe [sourire]. » http://www.liberation.frVa encore y avoir des jaloux dans ce forum |
| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 11 Fév 2007 - 13:52 | |
| Rien de glorieux. Un match nul. Qu'il fallait ramener. Une défaite et la saison était définitivement "plombée". Va falloir battre Rennes. |
| | | vanémel Invité
| Sujet: A suivre Dim 11 Fév 2007 - 14:30 | |
| St-Etienne : Hasek vante l'esprit Rédaction Football365 - dimanche 11 février 2007 - 11h43
Après le bon point ramené samedi d'Auxerre, l'entraîneur stéphanois Ivan Hasek souligne que toute son équipe était « bien dans l'esprit du jeu », une semaine après la déconvenue à domicile face à Sedan.
Ivan Hasek (entraîneur de Saint-Etienne) Pour nous c'est important ce match nul car c'est dans la manière qu'on l'a obtenu. Tout le monde s'est battu, surtout après le match qu'on avait fait à la maison il y a huit jours et où on avait pas été bons. Tout le monde était bien dans l'esprit du jeu avec beaucoup de solidarité, et c'est cette manière qui a été très importante pour nous. C'est dommage d'avoir pris ce premier but car après c'était difficile de jouer contre cette équipe d'Auxerre bien en place, qui avait ces contres à exploiter. Le terrain n'était pas évident, mais on a essayé de sortir, de jouer sur les côtés, dans un match très physique. Ce soir, nous n'avons pas été mauvais, il y a une semaine nous n'avions pas été bons, il faut souhaiter que dans huit jours contre Rennes, nous soyions très bons. |
| | | billbaroud35
Nombre de messages : 3718 Age : 50 Localisation : par des temps incertains... Date d'inscription : 28/09/2006
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 11 Fév 2007 - 19:47 | |
| - vanémel a écrit:
- St-Etienne : Hasek vante l'esprit
Rédaction Football365 - dimanche 11 février 2007 - 11h43
Après le bon point ramené samedi d'Auxerre, l'entraîneur stéphanois Ivan Hasek souligne que toute son équipe était « bien dans l'esprit du jeu », une semaine après la déconvenue à domicile face à Sedan.
Ivan Hasek (entraîneur de Saint-Etienne) Pour nous c'est important ce match nul car c'est dans la manière qu'on l'a obtenu. Tout le monde s'est battu, surtout après le match qu'on avait fait à la maison il y a huit jours et où on avait pas été bons. Tout le monde était bien dans l'esprit du jeu avec beaucoup de solidarité, et c'est cette manière qui a été très importante pour nous. C'est dommage d'avoir pris ce premier but car après c'était difficile de jouer contre cette équipe d'Auxerre bien en place, qui avait ces contres à exploiter. Le terrain n'était pas évident, mais on a essayé de sortir, de jouer sur les côtés, dans un match très physique. Ce soir, nous n'avons pas été mauvais, il y a une semaine nous n'avions pas été bons, il faut souhaiter que dans huit jours contre Rennes, nous soyions très bons. si je comprends bien Van, nous voici devenus ennemis héréditaires pour une semaine "en roûûûûûge et noaââââââar..." (et voilà l'hymne minable assorti aux couleurs que je défends, ouinnn, le supporter de base préfère jeanne mas à stendhal! ) | |
| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Lun 12 Fév 2007 - 8:07 | |
| - billbaroud35 a écrit:
- vanémel a écrit:
- St-Etienne : Hasek vante l'esprit
Rédaction Football365 - dimanche 11 février 2007 - 11h43
Après le bon point ramené samedi d'Auxerre, l'entraîneur stéphanois Ivan Hasek souligne que toute son équipe était « bien dans l'esprit du jeu », une semaine après la déconvenue à domicile face à Sedan.
Ivan Hasek (entraîneur de Saint-Etienne) Pour nous c'est important ce match nul car c'est dans la manière qu'on l'a obtenu. Tout le monde s'est battu, surtout après le match qu'on avait fait à la maison il y a huit jours et où on avait pas été bons. Tout le monde était bien dans l'esprit du jeu avec beaucoup de solidarité, et c'est cette manière qui a été très importante pour nous. C'est dommage d'avoir pris ce premier but car après c'était difficile de jouer contre cette équipe d'Auxerre bien en place, qui avait ces contres à exploiter. Le terrain n'était pas évident, mais on a essayé de sortir, de jouer sur les côtés, dans un match très physique. Ce soir, nous n'avons pas été mauvais, il y a une semaine nous n'avions pas été bons, il faut souhaiter que dans huit jours contre Rennes, nous soyions très bons. si je comprends bien Van, nous voici devenus ennemis héréditaires pour une semaine
"en roûûûûûge et noaââââââar..." (et voilà l'hymne minable assorti aux couleurs que je défends, ouinnn, le supporter de base préfère jeanne mas à stendhal! ) J'espère que les "verts" ne resteront pas coinçés. Tu te moques de la couleur des tiens. Mais le rouge ,c'est pas la couleur de la volonté? |
| | | billbaroud35
Nombre de messages : 3718 Age : 50 Localisation : par des temps incertains... Date d'inscription : 28/09/2006
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Lun 12 Fév 2007 - 11:34 | |
| le rouge c'est la couleur du sang et le noir de la rébellion....vous aller morfler sévère la semaine prochaine! (j'plaisante parce que même avec ces couleurs on n'a qu'une équipe de grosses loutres lymphatiques... comme quoi l'habit ne fait pas le moine, sinon on serait forts comme le milan!) | |
| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Jeu 15 Fév 2007 - 20:24 | |
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| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Sam 17 Fév 2007 - 21:17 | |
| Punaise les "tanches" ont encore perdu. 4ème défaite d'affilée à domicile. La défense à la ramasse complètement, du gruyère rapé. A Sainté plus çà va plus c'est pire. J'ai aimé Moreira qui jongle avec le ballon. Je reviendrais pour les notes Janot: Pouplin il vaut cher?Ilunga: a mon avis sa copine s'est tirée, en pleine dépressionHognon: pour la soupe à l'Hognon, ce fut une bonne soupe, a bu la tasseCamara: Utaka c'est niveau league des champions y faut dire!Dabo: quand memeSablé: continue mon Juju, le seul qui ait sauté sur le coup-franc de John, les autres rampaient par terre comme des mollusquesLandrin: Ben alors t'as peur de te faire une bosse sur les duels aériens?Dernis: doit se muscler les mollets pour lever ses ballons sur cornersFeinduno: un artiste, dommage y va partir préfère l'EspagneGomis: la panthère a encore frappé, le poteau résonne encoreIlan: l'est tout triste d'avoir perdu l'esclave Princier |
| | | billbaroud35
Nombre de messages : 3718 Age : 50 Localisation : par des temps incertains... Date d'inscription : 28/09/2006
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 18 Fév 2007 - 10:58 | |
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| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 18 Fév 2007 - 15:50 | |
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| | | duchesse Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 18 Fév 2007 - 15:52 | |
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| | | lerouge Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 18 Fév 2007 - 15:56 | |
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| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 18 Fév 2007 - 16:06 | |
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| | | vanémel Invité
| Sujet: Re: Nivaldo à Sainté Dim 18 Fév 2007 - 16:07 | |
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| | | | Nivaldo à Sainté | |
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