Ma ville

Ca bouge ici. Et y'a des musées.

Je vous invite à découvrir un peu Saint-etienne.

www.agglo-st-etienne.fr

A voir le musée d'Art Moderne. J'habite à coté et parfois les we , il y a des spectacles vachement abordables financièrement: 2 euros par tete de pipe. La dernière fois ,je suis allé voir "les tambours des ancetres" un groupe formé autour d'artiste du Congo Brazzaville. Les instruments: ngoma, doum-doum, congas, balafon, ngongui, nsalaka, guitare, basse, shekere.

A voir les grands projets, le Zénith.

En ce moment ,c'est le désign qui prime. Si c'est pas bobo çà.

Le vrai site: www.citedudesign.com

Comme site culturel ,il y a aussi la Comédie de Saint-Etienne fondée par J.Dasté, la Maison de la Culture qui célèbre régulièrement son festival J.Massenet

Jean Dasté est un acteur, metteur en scène et directeur de théâtre français (Paris, 18 août 1904 - Saint-Étienne, 15 octobre 1994).

Jean Dasté a été un trait d'union original entre Jean Vigo, que la Nouvelle Vague adorait, Alain Resnais et François Truffaut.

Jean Dasté est initié au théâtre par sa mère, puis par Jacques Copeau, son beau-père, qui le prend comme élève à l'école du Vieux-Colombier en 1922. Il suit son maître en Bourgogne, où le « groupe des Copiaux » joue de 1924 à 1929. De cette aventure, il garde le goût de la troupe, qui va le mener à la « Compagnie des Quinze », dirigée par Michel Saint-Denis (1931), à la « Compagnie des Quatre-Saisons » (1937), à l'Atelier de Barsacq (1940-1944).

C'est Jean Renoir qui le fait débuter au cinéma en 1932 dans Boudu sauvé des eaux. Mais Jean Vigo lui donne ses lettres de noblesse en le faisant jouer dans Zéro de conduite (1933) le rôle d'un surveillant, et surtout dans L'Atalante (1934). Aux côtés de Michel Simon et de Dita Parlo, il y est un peu en retrait, mais campe un marinier émouvant.

Après la mort de Vigo (1934), il revient chez Renoir dans Le Crime de M. Lange (1936), La vie est à nous (1936) et La Grande Illusion (1937).

Jean Dasté fonde durant la Seconde Guerre mondiale son « Théâtre de la Saison-Nouvelle ». En 1945, il est appelé à Grenoble pour créer la « Compagnie des comédiens de Grenoble », qui marque les débuts officiels de la décentralisation théâtrale. En 1947, à Saint-Étienne, il fonde et dirige le centre dramatique de la Cité des mineurs (actuellement Comédie de Saint-Étienne)
Comédiens et techniciens réunis autour de lui sillonnent les routes de campagne de la région stéphanoise, pendant près de dix ans. La troupe parvient à attirer un public populaire, qu'elle initie au répertoire des grands classiques français et étrangers : Molière, Shakespeare, Tchekhov.

En 1956, le succès rencontré par la création du cercle de craie caucasien de Brecht recentre son activité à Saint-Étienne. Jean Dasté monte des auteurs contemporains comme Yves Jamiaque, Jacques Audiberti, Jean-Paul Sartre ou Michel Vinaver, tout en se livrant à des expériences sur le mime, le nô japonais et la tragédie grecque.

En 1963, après plus de 20 ans d'absence du cinéma, Resnais le fait revenir dans Muriel, ou le Temps d'un retour dans un rôle modeste mais impressionnant de l'homme à la chèvre, puis en 1966 dans La guerre est finie. François Truffaut, sûrement en partie en hommage à Vigo, lui donne un rôle important, à ses côtés, dans L'Enfant sauvage (1969) et plus tard dans L'Homme qui aimait les femmes (1977). Mais c'est dans la Chambre verte (1978) qu'il interprète un personnage magnifique et inquiétant, Bernard Humbert, et là encore Truffaut lui donne personnellement la réplique. Il revient chez Resnais pour Mon oncle d'Amérique en 1980 et l'Amour à mort en 1984.

On peut remarquer aussi ses apparitions en 1969 dans Z de Costa-Gavras, en 1976 dans Le Corps de mon ennemi d'Henri Verneuil, en 1978 dans le Molière d'Ariane Mnouchkine, en 1980 dans Une semaine de vacances de Bertrand Tavernier, en 1989 dans Noce blanche de Jean-Claude Brisseau.

Enfin, hommage au deuxième degré, Suzanne Schiffman, assistante et scénariste de Truffaut le fait jouer dans son film Le Moine et la sorcière (1987, un de ses derniers rôle.

Jean Dasté meurt à Saint-Étienne en 1994. Un théâtre y porte son nom

Voilà pour les figures en dehors de B.Lavilliers, M.Robin et B.Gaccio, l'auteur des Guignols.

Sans oublier le musée de la Mine. J'ai gagné 2 invits. Yes.

vanémel a écrit:

Ca bouge ici. Et y'a des musées.

Je vous invite à découvrir un peu Saint-etienne.

www.agglo-st-etienne.fr

A voir le musée d'Art Moderne. J'habite à coté et parfois les we , il y a des spectacles vachement abordables financièrement: 2 euros par tete de pipe. La dernière fois ,je suis allé voir "les tambours des ancetres" un groupe formé autour d'artiste du Congo Brazzaville. Les instruments: ngoma, doum-doum, congas, balafon, ngongui, nsalaka, guitare, basse, shekere.

A voir les grands projets, le Zénith.

En ce moment ,c'est le désign qui prime. Si c'est pas bobo çà.

Le vrai site: www.citedudesign.com

Comme site culturel ,il y a aussi la Comédie de Saint-Etienne fondée par J.Dasté, la Maison de la Culture qui célèbre régulièrement son festival J.Massenet

Jean Dasté est un acteur, metteur en scène et directeur de théâtre français (Paris, 18 août 1904 - Saint-Étienne, 15 octobre 1994).

Jean Dasté a été un trait d'union original entre Jean Vigo, que la Nouvelle Vague adorait, Alain Resnais et François Truffaut.

Jean Dasté est initié au théâtre par sa mère, puis par Jacques Copeau, son beau-père, qui le prend comme élève à l'école du Vieux-Colombier en 1922. Il suit son maître en Bourgogne, où le « groupe des Copiaux » joue de 1924 à 1929. De cette aventure, il garde le goût de la troupe, qui va le mener à la « Compagnie des Quinze », dirigée par Michel Saint-Denis (1931), à la « Compagnie des Quatre-Saisons » (1937), à l'Atelier de Barsacq (1940-1944).

C'est Jean Renoir qui le fait débuter au cinéma en 1932 dans Boudu sauvé des eaux. Mais Jean Vigo lui donne ses lettres de noblesse en le faisant jouer dans Zéro de conduite (1933) le rôle d'un surveillant, et surtout dans L'Atalante (1934). Aux côtés de Michel Simon et de Dita Parlo, il y est un peu en retrait, mais campe un marinier émouvant.

Après la mort de Vigo (1934), il revient chez Renoir dans Le Crime de M. Lange (1936), La vie est à nous (1936) et La Grande Illusion (1937).

Jean Dasté fonde durant la Seconde Guerre mondiale son « Théâtre de la Saison-Nouvelle ». En 1945, il est appelé à Grenoble pour créer la « Compagnie des comédiens de Grenoble », qui marque les débuts officiels de la décentralisation théâtrale. En 1947, à Saint-Étienne, il fonde et dirige le centre dramatique de la Cité des mineurs (actuellement Comédie de Saint-Étienne)
Comédiens et techniciens réunis autour de lui sillonnent les routes de campagne de la région stéphanoise, pendant près de dix ans. La troupe parvient à attirer un public populaire, qu'elle initie au répertoire des grands classiques français et étrangers : Molière, Shakespeare, Tchekhov.

En 1956, le succès rencontré par la création du cercle de craie caucasien de Brecht recentre son activité à Saint-Étienne. Jean Dasté monte des auteurs contemporains comme Yves Jamiaque, Jacques Audiberti, Jean-Paul Sartre ou Michel Vinaver, tout en se livrant à des expériences sur le mime, le nô japonais et la tragédie grecque.

En 1963, après plus de 20 ans d'absence du cinéma, Resnais le fait revenir dans Muriel, ou le Temps d'un retour dans un rôle modeste mais impressionnant de l'homme à la chèvre, puis en 1966 dans La guerre est finie. François Truffaut, sûrement en partie en hommage à Vigo, lui donne un rôle important, à ses côtés, dans L'Enfant sauvage (1969) et plus tard dans L'Homme qui aimait les femmes (1977). Mais c'est dans la Chambre verte (1978) qu'il interprète un personnage magnifique et inquiétant, Bernard Humbert, et là encore Truffaut lui donne personnellement la réplique. Il revient chez Resnais pour Mon oncle d'Amérique en 1980 et l'Amour à mort en 1984.

On peut remarquer aussi ses apparitions en 1969 dans Z de Costa-Gavras, en 1976 dans Le Corps de mon ennemi d'Henri Verneuil, en 1978 dans le Molière d'Ariane Mnouchkine, en 1980 dans Une semaine de vacances de Bertrand Tavernier, en 1989 dans Noce blanche de Jean-Claude Brisseau.

Enfin, hommage au deuxième degré, Suzanne Schiffman, assistante et scénariste de Truffaut le fait jouer dans son film Le Moine et la sorcière (1987, un de ses derniers rôle.

Jean Dasté meurt à Saint-Étienne en 1994. Un théâtre y porte son nom

Voilà pour les figures en dehors de B.Lavilliers, M.Robin et B.Gaccio, l'auteur des Guignols.

Sans oublier le musée de la Mine. J'ai gagné 2 invits. Yes.

De quoi, un "Zénith" à Sainté ? 15 ans après les autres villes !!! Mazette ! Alors l'éléctricité est donc arrivée. Chapeau bas !

A part ça, ce que j'aime dans le tour de France, ce n'est pas le vélo, ce sont tous les reportages de Fr 2 sur les régions (dont Sainté - donc on savait déjà...). J'vas dm'ander que le Tour passe aux Mureaux... pour expliquer à un Stéphanois que cela n'a RIEN à voir avec le Gross Paris !

vanémel a écrit:

Ca bouge ici.
Yes.

Je trouve votre initative très, très sympa.
Merci pour avoir évoqué l'existence de Jean Dasté et quand je pense que mes élèves qui sont pour la plupart en 3ème année d'Art du spectacle ne savent même qui était Copeau! ou du moins je suis prête à le parier.
Oup! demain et grace à vous , je leur ramène l' histoire du Cartel et de la décentralisation.

duchesse a écrit:

vanémel a écrit:

Ca bouge ici.
Yes.

Je trouve votre initative très, très sympa.
Merci pour avoir évoqué l'existence de Jean Dasté et quand je pense que mes élèves qui sont pour la plupart en 3ème année d'Art du spectacle ne savent même qui était Copeau! ou du moins je suis prête à le parier.
Oup! demain et grace à vous , je leur ramène l' histoire du Cartel et de la décentralisation.

Merci en retour. Content que çà vous ait plu.

duchesse a écrit:

vanémel a écrit:

Ca bouge ici.
Yes.

Je trouve votre initative très, très sympa.
Merci pour avoir évoqué l'existence de Jean Dasté et quand je pense que mes élèves qui sont pour la plupart en 3ème année d'Art du spectacle ne savent même qui était Copeau! ou du moins je suis prête à le parier.
Oup! demain et grace à vous , je leur ramène l' histoire du Cartel et de la décentralisation.

A vous, Duchesse !

Que sait-il bien passé à Versailles ?

Ah oui... ça me revient... Y'a une dame qu'elle aime bien les félins (chatte à Versailles, lionne à Thoiry).

lerouge a écrit:

A vous, Duchesse !
Que sait-il bien passé à Versailles ?
Ah oui... ça me revient... Y'a une dame qu'elle aime bien les félins (chatte à Versailles, lionne à Thoiry).

excusez! C'est plutôt le contraire.

duchesse a écrit:

lerouge a écrit:

A vous, Duchesse !
Que sait-il bien passé à Versailles ?
Ah oui... ça me revient... Y'a une dame qu'elle aime bien les félins (chatte à Versailles, lionne à Thoiry).

excusez! C'est plutôt le contraire.

Y'a même pas un peu de réciprocité ? En plus, je crois que les chats aiment plus LEUR logement que nous.
Quand ils meurent, on chiale... Eux... pas tellement. Du moment qu'ils restent chez eux...

Versailles? Personne ne peut rivaliser. Pas les Mureaux en tous les cas. Meme pas Sainté. Tenez ,il faudra que je vous parle du Pilat. Car saint-Etienne est entouré d'un parc magnifique dont les sommets sont à plus de 1300 mètres d'altitude (le cret de l'Oeillon,le cret de la Perdrix). Particulièrement bien fléché pour les randonnées.

J'avais eu l'occasion de parler du chat de la concierge (ma maman) sur le forum de Libé. Il s'appelait Gaston.

vanémel a écrit:

Versailles? Personne ne peut rivaliser. Pas les Mureaux en tous les cas. Meme pas Sainté. Tenez ,il faudra que je vous parle du Pilat. Car saint-Etienne est entouré d'un parc magnifique dont les sommets sont à plus de 1300 mètres d'altitude (le cret de l'Oeillon,le cret de la Perdrix). Particulièrement bien fléché pour les randonnées.

Comment ça, "les Mureaux" ne peuvent pas...

Tiens, lisez ce courrier que je poste à l'instant :

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Les Mureaux, le 24 novembre 2006

Lettre ouverte à
Monsieur Marcel GRUDE


Monsieur,

Je lis dans la presse locale que vous vous opposez à la construction d’un funérarium dans notre commune mais ne comprends pas bien quelles sont vos motivations.

Je reprends donc ce qu’écrit Frédéric Antoine :

Ainsi seriez-vous inquiet quant à l’émanation de fumées. Cet argument m’étonne. En effet, j’ai vécu (comme des dizaines de milliers de Parisiens) à côté du cimetière du Père Lachaise pendant près de vingt ans et, pas plus que mes anciens voisins, je n’ai souffert d’un tel phénomène.

Je lis également que des pancartes indiquent « non à la mort de la Nouvelle France », tentant un jeux de mots (de maux ?) assez douteux.

Vous parlez également d’un défilé de « convois mortuaires ». Là encore, mes anciennes fenêtres donnaient sur la rue de la Roquette, artère principale desservant le cimetière parisien dont la « capacité » est bien supérieure à ce que sera celle du crématorium régional. La vue de convois ne nous a jamais gêné. Ce refus de la mort est étonnant et n’a rien à voir avec la construction d’un crématorium. En effet, que l’on soit enterré ou incinéré, si « tout se passe bien », notre corps sera véhiculé par un corbillard. Montaigne ne nous a pas attendu pour savoir que « le but de notre carrière, c’est la mort ». 85% des Français meurent à l’hôpital. Voudriez-vous également, face à cette réalité, vous opposer au passage d’ambulances ?

Vous ne voulez pas non plus que la construction se fasse « en plein quartier d’habitations ». Ne serait-ce pas un peu du : « cachez ce sein que je ne saurais voir ? » Là encore, à vous suivre, il faudrait bâtir les hôpitaux (lieux de souffrances et de mort) hors zone urbaine ? Faudrait-il également, pour accompagner nos proches dans la maladie puis la mort, que nous soyons, en plus, contraints de faire des kilomètres et d’ajouter à cela… les fumées d’incinérateurs d’usines jouxtant souvent les crématoriums comme à Saint-Ouen l’Aumône ?

Que, par ailleurs, vous regrettiez l’abattage d’arbres est très louable. Mais, en la matière, il y a plus de plantations aux Mureaux que d’abattages. J’ajoute que la défense de l’écologie ne saurait s’opposer à l’obligation sanitaire (et donc écologique) d’enterrer ou d’incinérer celles et ceux qui disparaissent.

J’en viens aux quelques « radio-trottoirs » opérés par le journaliste du « Courrier ».

Ali craint les maladies. Je l’informe que la crémation de corps est le moyen le plus sûr pour éviter celles-ci. En revanche, la décomposition de corps dans les cimetières pose un problème de plus en plus important. En effet, la mode est à « traiter » les corps, en particulier avec du formol. Or ce formol s’infiltre dans la terre et pollue très gravement les nappes phréatiques.

Il tient à parler de ses conviction religieuses. Doit-on lui rappeler que nous sommes dans un pays laïc et que personne n’envisage de l’obliger à faire incinérer qui que ce soit !
De même, parce que nous sommes dans un pays laïc, personne ne demande la fermeture de la mosquée de la commune… Tout simplement parce que personne n’est obligé de la fréquenter.

Que Mohammed veuille « dormir dans la forêt », pourquoi pas ?

Amadou ne veut pas de « la rue de la mort ». Va-t-il mener combat contre la mort ou pour que l’on conserve les corps en son domicile ?

Enfin, l’hebdomadaire qui vous réserve une place d’honneur publie une photo sur laquelle je lis : « Dans le quartier, non – non et non ». Bref… chez les autres, mais pas chez nous ! Ne seriez-vous pas un tout petit peu égoïste ?

Etant conciliant par nature, je vous propose un échange : les fumées du chauffage collectif du Grand-Ouest et les horribles cheminées qui les transportent contre les fumées du crématorium. Chiche ?

Je vous remercie de votre attention et en profite pour demander à Frédéric Antoine d’élargir son « radio-trottoirs » en donnant aussi la parole à celles et ceux dont je suis qui se félicitent d’avoir un maire réaliste en la matière.

Veuillez agréer...

----

Vous voyez qu'il s'en passe des choses aux Mureaux !


----

ça "chauffe" aux Mureaux. Bon, je sais, c'est pas drôle...

lerouge a écrit:

A vous, Duchesse !
Que sait-il bien passé à Versailles ?

Ah ben, tenez!
Sarkosy vient y tenir meeting cet après-midi au Palais des congrès!
à 200 m dans la même rue que le Conservatoire. Ca va grouiller de flics Quelle poisse.

duchesse a écrit:

lerouge a écrit:

A vous, Duchesse !
Que sait-il bien passé à Versailles ?

Ah ben, tenez!
Sarkosy vient y tenir meeting cet après-midi au Palais des congrès!
à 200 m dans la même rue que le Conservatoire. Ca va grouiller de flics Quelle poisse.

Il vient voir les manants du 7.8 ?

lerouge a écrit:

duchesse a écrit:

lerouge a écrit:

A vous, Duchesse !
Que sait-il bien passé à Versailles ?

Ah ben, tenez!
Sarkosy vient y tenir meeting cet après-midi au Palais des congrès!
à 200 m dans la même rue que le Conservatoire. Ca va grouiller de flics Quelle poisse.

Il vient voir les manants du 7.8 ?

Ca va venir par cars oui! Et le bistrot du coin de la rue va ëtre infréquentable.

En ce moment ,c'est le désign qui prime. Si c'est pas bobo çà. ecrit Vanémel.

Bobo ou pas je vous souhaite d'y aller faire un tour , ça a l'air assez génial ce qui est presenté lors de la biennale et ce nouveau lieu a l'air vraiment top.
Si je venais à sainté c'est LE truc que j'amerais voir avec le musée de la mine...
Et puis avouez que supporter inconditionnel de foot et amateur de désign branché, ça ferme le clapet de ceux qui s'imaginent que c'est OU foot OU culture, qu'il y a incompatibilité de nature et d'humeur entre les 2.
Alors que le vrai luxe, c'est de tout prendre et de faire le caméléon....

mariep a écrit:

En ce moment ,c'est le désign qui prime. Si c'est pas bobo çà. ecrit Vanémel.


Alors que le vrai luxe, c'est de tout prendre et de faire le caméléon....

Ah. Joliment dit

mariep a écrit:

En ce moment ,c'est le désign qui prime. Si c'est pas bobo çà. ecrit Vanémel.

Bobo ou pas je vous souhaite d'y aller faire un tour , ça a l'air assez génial ce qui est presenté lors de la biennale et ce nouveau lieu a l'air vraiment top.
Si je venais à sainté c'est LE truc que j'amerais voir avec le musée de la mine...
Et puis avouez que supporter inconditionnel de foot et amateur de désign branché, ça ferme le clapet de ceux qui s'imaginent que c'est OU foot OU culture, qu'il y a incompatibilité de nature et d'humeur entre les 2.
Alors que le vrai luxe, c'est de tout prendre et de faire le caméléon....

AU foot, il y a des exceptions... c'est comme au PS, il y en même (il paraît...) qui sont de gauche. Disons que ce n'est pas la majorité

Pour répondre à Mariep. Globalement la ville essaie de changer d'image. Elle ne renie pas son passé au contraire, mais les "crassiers", la terre noire, c'est plus d'époque. D'ou ce gout pour le désign, l'art moderne.

vanémel a écrit:

Pour répondre à Mariep. Globalement la ville essaie de changer d'image. Elle ne renie pas son passé au contraire, mais les "crassiers", la terre noire, c'est plus d'époque. D'ou ce gout pour le désign, l'art moderne.

Avec le vent qui souffle sur la Loire aujourd'hui, ça à l'air de décrasser !

Concernant la mine ,mon prof d'histoire m'avait dédicacé son livre.

Citation :

Claude Cherrier a soutenu sa thèse de 3ème cycle sur Michel Rondet militant mineur (1841-1908) devant l'Université de Lyon2 en 1977.

Citation :

Militant syndical, il a essayé de mettre à la portée de ses élèves l'histoire ouvrière de leur région en la faisant revivre de façon plus vivante que dans les manuels scolaires.

C'était l'époque de "Noces blanches" le film de V.Paradis avec B.Cremer ,film tourné dans mon lycée, en 1989. Ca va faire 20 piges bientot.

vanémel a écrit:

Concernant la mine ,mon prof d'histoire m'avait dédicacé son livre.

Citation :

Claude Cherrier a soutenu sa thèse de 3ème cycle sur Michel Rondet militant mineur (1841-1908) devant l'Université de Lyon2 en 1977.

Citation :

Militant syndical, il a essayé de mettre à la portée de ses élèves l'histoire ouvrière de leur région en la faisant revivre de façon plus vivante que dans les manuels scolaires.

C'était l'époque de "Noces blanches" le film de V.Paradis avec B.Cremer ,film tourné dans mon lycée, en 1989. Ca va faire 20 piges bientot.

J'aimais pas trop le maillot de St étienne : un peu court aux manches sous la coupe affro de Herbin, Bosquier et autres moulés au torse, des mini-shorts laissant entrevoir une touche de balles, bref, ils faisaient bien pauvrets les verts pâlots ( cherchez pas y'a pas de jeu de mots ) ... Bon, à leur dfécharge c'était les 70.. Ca a changé depuis ?

dodcoquelicot a écrit:

vanémel a écrit:

Concernant la mine ,mon prof d'histoire m'avait dédicacé son livre.

Citation :

Claude Cherrier a soutenu sa thèse de 3ème cycle sur Michel Rondet militant mineur (1841-1908) devant l'Université de Lyon2 en 1977.

Citation :

Militant syndical, il a essayé de mettre à la portée de ses élèves l'histoire ouvrière de leur région en la faisant revivre de façon plus vivante que dans les manuels scolaires.

C'était l'époque de "Noces blanches" le film de V.Paradis avec B.Cremer ,film tourné dans mon lycée, en 1989. Ca va faire 20 piges bientot.

J'aimais pas trop le maillot de St étienne : un peu court aux manches sous la coupe affro de Herbin , Bosquier e tautres moulés au torse, des mini-shorts laissant entrevoir une otuche de balles, bref, ils faisaient bien pauvrets les verts pâlots ( cherchez pas y'a pas de jeu de mots ) ... Bon , à leur dfécharge c'était les 70.. Ca a changé depuis ?

Les dirigeants essaient bien de lutter contre le foot business mais y peuvent pas (à moins d'une nouvelle caisse noire). Y trouvent pas des supers joueurs qui viennent uniquement pour la tunique et pour la légende, ou parce que les monts du Forez était leur reve depuis tout petit. Non, non. Les joueurs viennent pour relever des challenges certes, avec un public de passionnés, mais pas pour des nèfles non plus. Ils veulent leur pognon. Et question pognon, on est pauvret comme tu dis. On est pas Chelski. Pourtant on a creusé profond dans la région, sous la pelouse de GG s'est tunnelisé par les galeries à la recherche de la houille, personne n'a trouvé de pétrole. Aujourd'hui, çà relève cependant la tete avec une co-présidence. Un des présidents est homme d'affaire, plutot parisien, et dégote des gros sponsors. Il est à Sainté pour les matchs. Ce type voulait Fernandez Luis comme entraineur. Ce qui l'interesse ,c'est la système justement, la médiatisation à outrance, les unes des journaux. Il n'a pas eu les coudées franches. L'autre co-président est un homme du cru. Il est aussi bourré de pognon et a renfloué le club lorsque çà allait mal. Lui, la médiatisation, c'est pas son truc. Il vaut un club stable qui progresse petit à petit. Il a imposé Hasek à Sainté un tchèque. Forcément entre les deux, un jour va y avoir clash. Une énième descente aux enfers?

Mariep, j'ai suivi vos conseils, je suis allé visiter le site du design, 4.50 euros la place, je me suis ré-ga-lé. La preuve donc que je ne suis pas obtus.

Alors le désign ,je ne connaissais pas trop. J'ai visité en 2 jours tellement y'a des choses à voir.

Les applications sont pour le quotidien, l'architecture, la nourriture, les vetements, l'automobile, les énergies, une sorte de globalité qui prend en compte l'esthétique l'environnement, l'aspect socio-culturel.

Ca se veut parfois subversif, contre la société de consommation, contre la sur-abondance.

Les Ogm sont promus par contre. Toujours l'Homme doit s'adapter, c'est totalement Darwinien. Le commerce équitable a également son stand.

Va y comprendre quelque chose Charles.

vanémel a écrit:

Mariep, j'ai suivi vos conseils, je suis allé visiter le site du design, 4.50 euros la place, je me suis ré-ga-lé. La preuve donc que je ne suis pas obtus.

Alors le désign ,je ne connaissais pas trop. J'ai visité en 2 jours tellement y'a des choses à voir.

Les applications sont pour le quotidien, l'architecture, la nourriture, les vetements, l'automobile, les énergies, une sorte de globalité qui prend en compte l'esthétique l'environnement, l'aspect socio-culturel.

Ca se veut parfois subversif, contre la société de consommation, contre la sur-abondance.

Les Ogm sont promus par contre. Toujours l'Homme doit s'adapter, c'est totalement Darwinien. Le commerce équitable a également son stand.

Va y comprendre quelque chose Charles.

Sauf erreur de ma part, je n'ai pas vu le mot "Ségo" dans ce post. Z'êtes souffrant Vané ?

Je l'aurai celui-là, je l'aurai. Appelez-moi le directeur !

lerouge a écrit:

vanémel a écrit:

Mariep, j'ai suivi vos conseils, je suis allé visiter le site du design, 4.50 euros la place, je me suis ré-ga-lé. La preuve donc que je ne suis pas obtus.

Alors le désign ,je ne connaissais pas trop. J'ai visité en 2 jours tellement y'a des choses à voir.

Les applications sont pour le quotidien, l'architecture, la nourriture, les vetements, l'automobile, les énergies, une sorte de globalité qui prend en compte l'esthétique l'environnement, l'aspect socio-culturel.

Ca se veut parfois subversif, contre la société de consommation, contre la sur-abondance.

Les Ogm sont promus par contre. Toujours l'Homme doit s'adapter, c'est totalement Darwinien. Le commerce équitable a également son stand.

Va y comprendre quelque chose Charles.

Sauf erreur de ma part, je n'ai pas vu le mot "Ségo" dans ce post. Z'êtes souffrant Vané ?

Je l'aurai celui-là, je l'aurai. Appelez-moi le directeur !

Ah oui pardon ou avais-je la tete? Ségo si vous me lisez, je sais que vous me lisez, je vous embrasse de tout mon coeur. Bisou.

A ce propos Razibuzouzou est tombé sur la tete, il fait sa déclaration sur le forum officiel de Libé?!