La gonglitude

on appelle cela un néogloglisme, dû à un excès de gloghorrée activée
par la bloglomatisation d'hormones mâles et femelles - communément
appelées, glooogles glonglées - , encore que là, les
gonglologues ne l'ont pas fait exprès.

Selon notre prof de confesse et de Lettres classiques en chaire
et en fes... formes, Mme mariep, la gonglitude voudrait dire
jongler avec facilité.

Pour notre représentant de l'Administration Française, Mr Lerouge,
médaillé de bronze et préposé à la pipe, proposé par dix fois aux
palmes académiques, refusant même le porte-clé tricolore décoré des
armoiries d'Aulnay ( où on peut ) sous bois, la gonglitude à la longue ou
gonglerie par habitude, serait un excès d'énervements intempestifs
faisant " gongler " les chevilles et le reste. Surtout le reste.

A ma toute dernière apparition et lors de ma première disparition, on
me signalait dans l'oreillette que la gonglitude serait une espèce de
gonglement de la luette qui entraînerait alors une difficulté à
expirer et inspirer lors de l'endormissement.

Pour ma part, en qualité, de technicien des ondes lactées du
birouillard ( prochain sujet à venir ) ou brioullard - plus épais
- ou encore du bourillard ( le plus féroce, on n'y voit que dalle ) ,
je pencherais plutôt pour une dérivation d'ex chevelus ès bonzes,
fumeurs de joints et avaleurs de pilules, qui ont oublié depuis
plusieurs générations d'ôter de leur lobes le casque ou
glonglouinait le groupe Gong.



Kling-Klong.

Et Ségloglène elle gongle avec qui ?

Je préfère le groupe Gong Gong, c'est deux fois mieux !

Sinon, la gonglitude, c'est simple, c'est quand on est fan de Gong Li.

nakata a écrit:

Je préfère le groupe Gong Gong, c'est deux fois mieux !

Sinon, la gonglitude, c'est simple, c'est quand on est fan de Gong Li.

Ouah Glood ! Naklatz... Jclonnais sais pas trop glong li... T'es plus fort que moi , je te nomme glongueur en chef !

Pour rester dans l'usage des mots et des expressions sans ouvrir un autre fil.
Parfois les expressions transmutent au fil de leur usage. on les oublie , on les mélange et on les transforme. Et c'est drôle.
Une rigolote que j'ai lu dans Libé:
c'est une réaction d'un libénaute sur l'élection de platini:
"Qu'est ce qu'on s'en tâpe la coquillette!" pour on s'en "tape le coquillard" ( qui serait la tête, le crâne et sa correspondance avec l'oeuf)

S'en tâper la coquillette:

J'avais , dans le même ordre d'idées, noté celle de wildcarrot:
"Fais pas ta majorette!"
c'était trés drôle.

Et puis ça doit faire mal de se taper la coquillette.

mariep a écrit:

J'avais , dans le même ordre d'idées, noté celle de wildcarrot:
"Fais pas ta majorette!"
c'était trés drôle.

Celle-là je dois avouer que je l'ai piquée...

Wild , mais elle sonne tellement bien...

Wildcarrot a écrit:

mariep a écrit:

J'avais , dans le même ordre d'idées, noté celle de wildcarrot:
"Fais pas ta majorette!"
c'était trés drôle.

Celle-là je dois avouer que je l'ai piquée...

Wild , mais elle sonne tellement bien...

Moi y'a une phrase que j'utilise assez souvent, et que j'ai empruntée à un défunt ami homosexuel...
dès que quelqu'un (ou une) frôlait l'hystérie, il disait : il (ou elle) a les ovaires dans le chignon... c'est vrai que ça s'applique mieux aux femmes (because chignon, mais Nakata doit se faire des chignons de temps à autre) et pan dans la tronche du délateur
Sinon, j'aime bien aussi celle d'un copain pour parler d'une lesbienne : "goudou comme une loutre" (rapport au "pédé comme un foc que tout le monde écrit phoque"... qui avait permis à lerouge de m'en mettre plein la vue je crois, sur les forums)...

nakata a écrit:

Et puis ça doit faire mal de se taper la coquillette.

C'est-à-dire que SA coquillette, c'est pas facile (surtout en prenant du bide ) mais celle d'un autre, ça ne fait pas mâle du tout. Y parait...

clomani a écrit:

Wildcarrot a écrit:

mariep a écrit:

J'avais , dans le même ordre d'idées, noté celle de wildcarrot:
"Fais pas ta majorette!"
c'était trés drôle.

Celle-là je dois avouer que je l'ai piquée...

Wild , mais elle sonne tellement bien...

Moi y'a une phrase que j'utilise assez souvent, et que j'ai empruntée à un défunt ami homosexuel...
dès que quelqu'un (ou une) frôlait l'hystérie, il disait : il (ou elle) a les ovaires dans le chignon... c'est vrai que ça s'applique mieux aux femmes (because chignon, mais Nakata doit se faire des chignons de temps à autre) et pan dans la tronche du délateur
Sinon, j'aime bien aussi celle d'un copain pour parler d'une lesbienne : "goudou comme une loutre" (rapport au "pédé comme un foc que tout le monde écrit phoque"... qui avait permis à lerouge de m'en mettre plein la vue je crois, sur les forums)...

Je ne vous ai rien mis, et encore moins "dans la vue"... Ma coquillette est trop petite pour ce faire.