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Ah il faut cliquer dessus, trop petit sinon...

J'ai lu le manuel d'origine, ou un manuel du style, un vieux bouquin étudié à l'école primaire par mon arrière-grande-tante. Un document historique à conserver précieusement !

une vraie faute de goût : la tasse de thé . .
au réveil, un mâle, un tatoué, un vrai, prend de la gnôle ou du café où la cuillère tient toute seule . .

et pas dans un bol, dans sa botte, tudieu!

campagne première a écrit:

une vraie faute de goût : la tasse de thé . .
au réveil, un mâle, un tatoué, un vrai, prend de la gnôle ou du café où la cuillère tient toute seule . .

et pas dans un bol, dans sa botte, tudieu!

Oui mais Campagne, où vous voyez un "homme" dans la description de ce manuel?
Ce gars là qui ne supporte rien,ni bruit, ni bazard, ni ses gosses qui s'allonge pauvre chou aprés sa dure journée, qui geint sur lui, qui ne peut rien faire seul , visiblement même pas baiser ou si peu, c'est une lavette un demeuré emasculé.
A contrario, la bonne femme de cette description, punaise , quelle courage, c'est la quintessence de la maitrise de soi, du zen geîcha, la solidité du menhir.

je me demande si les hommes de cette époque lisait ces livres, parce que vraiment ils n'étaient pas à leur avantage...